En même temps, concernant la biographie du héros-de-la-nation-française-qu'il-est-tellement-trop-fort-qu'il-peut-faire-passer-Citroën-pour-une-marque-classe, peut-on vraiment parler de littérature ?...Gruik a écrit :Ah oui mais du coup avec la biographie de loeb ( le mec il a quoi ....40 ans ? ) on a un véritable fossé culturel la
Binano et la littérature
- Hereziark
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Re: Binano et la littérature
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Re: Binano et la littérature
Nan c'est l'inverse, c'est Citroën qui le fait passer pour un mec classe
Sinon pour qui aime Einstein, je conseille "comment je vois le monde", en 2 parties, une philosophique et une scientifique
Sinon pour qui aime Einstein, je conseille "comment je vois le monde", en 2 parties, une philosophique et une scientifique
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Re: Binano et la littérature
T'es pas objectif, quand tu dis ça...Teutates a écrit :Nan c'est l'inverse, c'est Citroën qui le fait passer pour un mec classe
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Re: Binano et la littérature
Gruik a écrit :Ah oui mais du coup avec la biographie de loeb ( le mec il a quoi ....40 ans ? ) on a un véritable fossé culturel la
Bah faut dire que c'est plus populaire que...
... Par exemple.Teutates a écrit : Sinon pour qui aime Einstein, je conseille "comment je vois le monde", en 2 parties, une philosophique et une scientifique
Perso, je réserve la lecture au soir avant de dormir pour me détendre. Je me vois pas lire Einstein avant de dormir.
Je me contente de la lecture technique* en journée.
*
:
Modifié en dernier par Zlip le lun. 06 janv., 2014 21:04, modifié 2 fois.
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Re: Binano et la littérature
oupsZlip a écrit :*:
V ptit blond...J&B a écrit :C'est plus des routes à chèvres, c'est des routes à Shart'
Le SV
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A choisir je préfère y rester au fond d'un fossé avec ma brêle et mon cuir...
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Re: Binano et la littérature
J'ai commencé un bouquin ce soir, que ma mère m'a offert pour mon anniversaire.
Je le trouve vraiment énorme, l'auteur est un passionné et on le sent dans son récit, la vraie philosophie de la bécane..
Du coup je vous met un petit extrait içi, en espérant que ça vous donne envie de l'ouvrir (sans vouloir faire le pti con pédant qui se la pète avec sa littérature hein, c'est que vraiment je le trouve beau)
Je m’arrêterai là (car j'ai pas beaucoup avancé dans le bouquin), et conclurais que, certes il y a une grande notion de danger et de mort (Shart' si tu lis ça, on en revient à notre conversation de l'autre soir en somme), mais que c'est aussi des délires entre potes, dans une odeur d'essence, de metal chaud et d'huile brulée. Des souvenir mémorable qu'on se met en tête (les rassos par exemple, bien que jamais participé pour le moment.. )
Et voici une de mes vidéos préféré bien que super connue, qui illustre bien mon point de vue sur cette passion..
V.
ps : t'as vu Axel ?
Je le trouve vraiment énorme, l'auteur est un passionné et on le sent dans son récit, la vraie philosophie de la bécane..
Du coup je vous met un petit extrait içi, en espérant que ça vous donne envie de l'ouvrir (sans vouloir faire le pti con pédant qui se la pète avec sa littérature hein, c'est que vraiment je le trouve beau)
Paul Ardenne - Moto notre amour (Flammarion) a écrit : Le meilleur service à rendre à la moto : rappeler, toujours, qu'elle est un engin de vie en passe d'être aussi un engin de mort.
Objet curieux que celui-ci, qui ne peut pas même tenir debout sur ses roues, et qui convoque pour pouvoir s'animer l'énergie humaine et un fort lot d'adresse, d'habilité dans le pilotage. Ce caractère inachevé de la moto augmente la responsabilité du pilote face au danger potentiel qu'elle porte en elle, danger accroissant son statut d'objet magnétique.
Piloter une moto, c'est célébrer la vie à chaque instant, et tout autant à chaque instant pouvoir chuter, cette même vie volontairement mise en péril. J'ai très tôt su, pour être tombé, que les motos sont des engins de mort. Une de mes sensations les plus fortes quand j'enfourche une moto, tandis que Santiago Herrero, Billy Ivy, Jarno Saarinen, Daniel Coulais, Patrick Albert, René Carrette m'observent et me jaugent depuis leur haut monde muré, c'est de sentir que je touche potentiellement la mort.
Le pilotage, dès lors, est conçu comme un travail oscillant entre préservation de soi et prise de risque immodérée, pour laisser venir la mort et, dans le même élan, la tenir à distance. Travail vital de contrôle et de relâchement jumelés. Comme une mise en forme de la survie.
[...]
Il existe deux manières de considérer une moto : Comme un objet pour se déplacer ; comme un objet pour se dépasser. Le motard envisage toujours le potentiel de sa machine sous ces deux angles, sans les dissocier. La moto, pour lui, est beaucoup plus qu'un simple engin. C'est une matrice à plaisir.
Certains - qui ne la pilotent pas, qui n'ont de la moto qu'une connaissance vague, extérieure - en font une machine excessive, un germe de désordre.
Dans leur esprit, cette mécanique décrétée dérangeante qu'est la moto se présente comme trop rapide, trop bruyante et trop libertaire. Pour ceux-là, la moto est un élément hors-norme, un nuisible, un sauf conduit pour désobéir à l'ordre établi. Leur réprobation est ambiguë : la répulsion, toujours, s'y frotte à l'attraction.
[...]
Je m’arrêterai là (car j'ai pas beaucoup avancé dans le bouquin), et conclurais que, certes il y a une grande notion de danger et de mort (Shart' si tu lis ça, on en revient à notre conversation de l'autre soir en somme), mais que c'est aussi des délires entre potes, dans une odeur d'essence, de metal chaud et d'huile brulée. Des souvenir mémorable qu'on se met en tête (les rassos par exemple, bien que jamais participé pour le moment.. )
Et voici une de mes vidéos préféré bien que super connue, qui illustre bien mon point de vue sur cette passion..
V.
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Re: Binano et la littérature
Fini American Sniper, qui ma bien laisser sur le cul
La j'attaque un autre dans le meme genre toujours aux éditions Nimrod , le réci d'un de ses amis et collègue Seals .
Ils en ont fait un film qui viens de sortir "du sang et des larmes "
La j'attaque un autre dans le meme genre toujours aux éditions Nimrod , le réci d'un de ses amis et collègue Seals .
Ils en ont fait un film qui viens de sortir "du sang et des larmes "
L'agilité du X-wing
La puissance du Faucon millenium
Les ligne tranchante d'un Star destroyer
Le bruit d'un Tie fighter
La SV aurait vraiment pu tourné dans Star Wars
Clan MIVV GP , mode FULL BORDEL
Clan S&S mode DOUBLE FULL BORDEL
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Re: Binano et la littérature
Bon alors du coup, pour le bouquin Moto, notre amour :
Les deux extraits sortent des 30 premières pages.
J'ai continué hier soir, il traite aussi de l'image mystique qu'à la moto.
Particulièrement dans son enfance, en revoyant une photo où il avait à peine un an sur le réservoir de la square four de son père (dans mon cas c’était la BM R100 du paternel, qui me fais rêver tout les jours) . Là où le virus lié à nos Julies lui a été transmit.
Il traite aussi de la solitude en moto. Cette solitude que l'on recherche. Non pas comme quelqu'un en dépression ou en recherche de soi même. Cette solitude que l'on partage avec notre monture, ne faisant de nous, qu'un.
Même lorsque l'on a un(e) passager(e), nous sommes tout de même solitaires. Le seul contact que nous avons se fait par le contact de ses seins à travers le cuir, d'une main sur la taille, mais il n'y a pas, peu de mots. La discussion que nous avons ne se fait qu'à travers notre corps et notre pensée. La fusion de l'Homme et de la Machine. Une moto ne se partage pas, elle est personnelle.
L’équivalente d'une amante, d'une idylle entraînant une dévotion à son instar.
C'est une entité égoïste aussi, propre à chacun de nous. Elle demande énormément de temps, nous laissant souvent l'ultimatum de la relation à construire. Cette mécanique étant un prolongement de nous même.
Combien de motard que nous avons croisé ont gardé, une pièce de leur monture suite à une chute, une casse. Un sélecteur tordu, un piston fondu, un cuvelage de phare, un carter cassé...
Ces pièces qui nous rappellent qu'un moment dur et décisif s'est passé à un moment "t". Notre belle a souffert, s'en est remise, ou non, entraînant sa disparition.
Seule une partie infime la résume, nous permettant de se souvenir et de ne pas oublier, notre madeleine de Proust.
De manière reformulée, c'est là où j'en suis, c'est pas vraiment un roman mais plus un bouquin où l'auteur à mit toutes ses pensées à plat sur la bécane. Un peu la réflexion que l'on se fait chacun, dans son casque où lors de discussion entre motards.
Je pense que ce bouquin s'adresse (sans m'envoyer de fleur hein) à des personne qui vivent de la bécane. Où cette machine est plus que ça, c'est un choix de vie et non pas un objet comme un autre. Là où cette passion nous anime depuis longtemps. C'est un peu se retrouver avec soi-même ce bouquin.
Que ce soit sur la concession et l’acceptation du danger et de la mort à chaque instant.
Que notre bécane est un prolongement de nous même.
Qu'elle se comporte comme une maîtresse.
Qu'elle nous rallie à nos amis, et tisse des liens inexistants chez les autres conducteurs.
Qu'elle est le moteur de notre réflexions lors des virées.
Qu'elle représente un refus de se plier devant certaines autorités, garantissant une forme de libertés.
Parce que la bécane c'est quelque chose de magique, que l'on ne peut vivre qu'à fond pour en jouir de toutes ses facettes, dans les pires moments comme dans les meilleurs, surtout les meilleurs .
(je vous remettrait un petit passage ce soir, qui me semblera pertinent)
Les deux extraits sortent des 30 premières pages.
J'ai continué hier soir, il traite aussi de l'image mystique qu'à la moto.
Particulièrement dans son enfance, en revoyant une photo où il avait à peine un an sur le réservoir de la square four de son père (dans mon cas c’était la BM R100 du paternel, qui me fais rêver tout les jours) . Là où le virus lié à nos Julies lui a été transmit.
Il traite aussi de la solitude en moto. Cette solitude que l'on recherche. Non pas comme quelqu'un en dépression ou en recherche de soi même. Cette solitude que l'on partage avec notre monture, ne faisant de nous, qu'un.
Même lorsque l'on a un(e) passager(e), nous sommes tout de même solitaires. Le seul contact que nous avons se fait par le contact de ses seins à travers le cuir, d'une main sur la taille, mais il n'y a pas, peu de mots. La discussion que nous avons ne se fait qu'à travers notre corps et notre pensée. La fusion de l'Homme et de la Machine. Une moto ne se partage pas, elle est personnelle.
L’équivalente d'une amante, d'une idylle entraînant une dévotion à son instar.
C'est une entité égoïste aussi, propre à chacun de nous. Elle demande énormément de temps, nous laissant souvent l'ultimatum de la relation à construire. Cette mécanique étant un prolongement de nous même.
Combien de motard que nous avons croisé ont gardé, une pièce de leur monture suite à une chute, une casse. Un sélecteur tordu, un piston fondu, un cuvelage de phare, un carter cassé...
Ces pièces qui nous rappellent qu'un moment dur et décisif s'est passé à un moment "t". Notre belle a souffert, s'en est remise, ou non, entraînant sa disparition.
Seule une partie infime la résume, nous permettant de se souvenir et de ne pas oublier, notre madeleine de Proust.
De manière reformulée, c'est là où j'en suis, c'est pas vraiment un roman mais plus un bouquin où l'auteur à mit toutes ses pensées à plat sur la bécane. Un peu la réflexion que l'on se fait chacun, dans son casque où lors de discussion entre motards.
Je pense que ce bouquin s'adresse (sans m'envoyer de fleur hein) à des personne qui vivent de la bécane. Où cette machine est plus que ça, c'est un choix de vie et non pas un objet comme un autre. Là où cette passion nous anime depuis longtemps. C'est un peu se retrouver avec soi-même ce bouquin.
Que ce soit sur la concession et l’acceptation du danger et de la mort à chaque instant.
Que notre bécane est un prolongement de nous même.
Qu'elle se comporte comme une maîtresse.
Qu'elle nous rallie à nos amis, et tisse des liens inexistants chez les autres conducteurs.
Qu'elle est le moteur de notre réflexions lors des virées.
Qu'elle représente un refus de se plier devant certaines autorités, garantissant une forme de libertés.
Parce que la bécane c'est quelque chose de magique, que l'on ne peut vivre qu'à fond pour en jouir de toutes ses facettes, dans les pires moments comme dans les meilleurs, surtout les meilleurs .
(je vous remettrait un petit passage ce soir, qui me semblera pertinent)
Modifié en dernier par Romi le jeu. 20 févr., 2014 18:42, modifié 1 fois.
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Re: Binano et la littérature
Je crois que je vais me laisser tenter ...
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Re: Binano et la littérature
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le forum qui préfère se la mesurer que lire quoi
j'ai attaqué ça :
jamais lu de Clark avant , mais j'ai entendu la pub a la radio fr ( dans le bleu de tes yeux en francais ) et ça m'a intrigué
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Axeleil a écrit :Gruik Norris
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Re: Binano et la littérature
J'aime bien, et c'est assez facile à lire
"Ne pleure pas ma belle" est un de ceux que j'ai préféré
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Re: Binano et la littérature
J'ai lu l'herbe bleu hier, (enfin hier et avant hier), vraiment top ce bouquin. Je lis quasi jamais, parce que je n'ai pas de bouquins chez moi et que je ne sais pas quel livre acheter en librairie... Mais il se lit avec une facilité déconcertante, et l'histoire est très prenante je trouve. C'est le journal intime d'une jeune droguée de 15 - 16 ans, dans les années 70 en Amérique, vraiment prenant, je le conseille
Sinon en autre bouquin que j'ai vraiment apprécié et lu en moins de deux, il y a "L'homme qui voulait vivre sa vie". Me rappelle plus de l'auteur, mais pareil histoire très prenante. Et "Bravo two zero", sur un groupe commando en Irak, très sympa aussi.
Et c'est à peu près tout ce que j'ai lu depuis la fin du lycée
Sinon en autre bouquin que j'ai vraiment apprécié et lu en moins de deux, il y a "L'homme qui voulait vivre sa vie". Me rappelle plus de l'auteur, mais pareil histoire très prenante. Et "Bravo two zero", sur un groupe commando en Irak, très sympa aussi.
Et c'est à peu près tout ce que j'ai lu depuis la fin du lycée
"À rouler sans aventures, on risque d'arriver sans souvenirs."
JEJ, 24 septembre 2020
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Re: Binano et la littérature
Ouai l'herbe bleue est vraiment bien. Et prenant surtout car écrit à la première personne
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Re: Binano et la littérature
Je me demande si "l'homme qui voulait vivre sa vie" n'était pas à la première personne aussi, ce qui expliquerait qu'il se lise également très facilement
"À rouler sans aventures, on risque d'arriver sans souvenirs."
JEJ, 24 septembre 2020
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