Coyotus a écrit :J'ai fait mon vieux con dans le Morvan en fermant la machine à bière à un moment où ça se barrait en couille, je suis passé pour le gars pas drôle mais au final, y'avait pas eut de casse et on a remit la machine en marche après que ça se soit calmé, et que les trop alcoolisés soient parti se coucher.
Et on continu à m'en parler 2 ans après...
De mon côté, si je t'en parle encore, ça doit être pour t'en remercier !
Je pense réellement que c'est grâce à ça qu'on a pas eu de gros dérapage.
Skysam a écrit :BabylonRider a écrit :Merci de ta reponse Zed, c'est vrai que je sous estime la quantité de travail. Je galerais deja avec 35 gamins quand je bossais en colo
Sinon une autre idee: pourquoi ne pas proposer des orgas en interim?
Si un jour je fais un rasso, ca ne me derangerait pas dans l'idee de participer une ou deux demies journee
contre une reduction symbolique par exemple.
Ca je pense que tu peux t'assoir dessus
C'est (apparemment) déjà assez difficile de boucler le budget sans y perdre des billes donc "rémunérer" des aideurs ça me parait peu probable.
Tout à fait. Pour info, en 2013, tous les orgas ont payés leur place en plein, Sebtik et moi-même inclus. Et à ma connaissance, c'est le cas tous les ans. He ouais, on paye pour bosser
Skysam a écrit :Par contre sur l'esprit des rassos, rien n'empêche de demander aux participants de donner un coup de main après les repas, sous forme de roulements pour débarasser, faire la vaisselle...etc si ce n'est pas compris dans le prix
Sur le principe je suis d'accord avec toi, en pratique j'ai peur qu'on voie toujours les mêmes filer un coup de main. Par exemple, dans mes souvenirs du premier rasso Alsace, il y avait toujours systématiquement SV6.5 entrain de gérer le débarassage et la plonge. Il n'était pas seul, mais il était là à tous les repas...
Pour rebondir sur les repas, et compléter un peu ce qu'à dit Sebh68, il faut bien se rendre compte que gérer entièrement les repas comme ils l'ont fait est un taf monstrueux, pour des économies pas forcément significative. Rien qu'au niveau logistique, c'est un travail assez dantesque. Pour illustrer, certains se rappellent peut-être l'arrivée de la bière et des apéros dans le Morvan : ma voiture + remorque était chargée ras la gueule, posée sur l'essieu arrière. Avec la bouffe, c'était au moins un voyage de plus dans cet état, si pas deux, avec les problématiques de chaîne du froid. Ca veut aussi dire être systématiquement le premier levé pour s'occuper des petits dej', et préparer les repas en même temps que gérer les roulages (au final, sauf à avoir tout préparé à l'avance, ce qui demande une cuisine et des frigos de gabarit professionnel, ça veut dire avoir une ou deux personnes qui ne rouleront pas et qui passeront leur rasso à faire la bouffe).
Bref, à moins d'avoir de la famille dans le milieu de la restauration, d'être vraiment très proche du gite visé, et de limiter au maximum les plats mijotés (le boeuf bourguignon dans le Morvan par exemple, ou le cochon à la broche, la truffade, ..., cette année), c'est quasiment mission impossible.