[CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Y'a pas besoin d'en dire plus.
Elle s'est faite caresser par tout le monde ce week-end, on est tous intime maintenant.
Elle s'est faite caresser par tout le monde ce week-end, on est tous intime maintenant.
Appel de phare à tous mes frères motards de France et de Navarre.
Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
J'en ai wouf rajoutéloïc95 a écrit :Tu appelles ça une présentation
Tu n'en dis pas beaucoup sur toi
PS: la wouf prochaine fois que je te wouf vois, je te pisse dessus
Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Bienvenue chez les wouf chtisJEJ a écrit : Elle s'est faite caresser par tout le monde ce week-end, on est tous intime maintenant.
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Cette sale histoire commença un jeudi matin pluvieux.
Mon ami Jim, que j'apprécie particulièrement malgré le fait qu'il soit vraiment ... lui, m'annonce que sa moto ne démarre pas. Nous sommes à moins de 24h du départ pour le grand Ch'nord, ça sent vraiment mauvais.
Finalement, la situation se débloque (j'en profite pour dire aussi merci à tous ceux qui l'ont aidé) et mes deux compagnons de voyage, Baloo et Jim, doivent arriver jeudi soir chez moi pour partir vendredi matin de bonne heure.
Ça, c'était le plan.
La réalité, c'est Baloo qui arrive à l'heure et Jim qui arrive à la tombée de la nuit, une haleine bien chargée en essence. Il vous racontera le pourquoi du comment, c'est assez drôle.
7h30, vendredi matin, le réveil est difficile après la soirée de la veille mais le soleil est bien présent et fait du bien au moral pour la longueeee route à venir.
Après un petit dej' en terrasse, nous décollons de chez moi à 9h30, presque dans les temps, c'est beau.
L'heure d'arrivée approximative au gîte était 17h.
Ça, c'était le plan.
Mais visiblement, il y a toujours un truc qui fait que le plan, c'est pas un bon plan.
2 heures de route plus tard, je ressens comme des à-coups lorsque je reprends en 6, comme un léger temps mort puis un clac, la vitesse reprenant ensuite normalement.
Je fais quelques tests de reprises gentiment en 6, plus ça va moins le moteur reprend vite le rythme, jusqu'au moment où la chaîne ne prend plus du tout et saute à la moindre sollicitation de l’accélérateur. Pause sur le bord de la route, à côté d'un cimetière, c'est un signe. Un signe de loositude de l’extrême, bordel, je me dis qu'on arrivera jamais à se faire un "trip" sans merde.
Il faut trouver un coupable, je regarde Jim, mais il me fait fondre en me faisant les yeux doux. Je regarde ensuite Baloo, il a l'air d'en avoir marre de nous, comme je le comprends ...
On repart finalement après 1h30 de pause mécanique / sessions téléphone avec les orgas pour les prévenir, le moral un peu à plat pour ma part, mais bon, je me dis que c'est l'aventure, et que tant que ça roule en 5 quand même, je continue, en priant pour ne pas flinguer plus la boite/moteur que ça ne l'est déjà.
Ça roule très mal à cause de la circulation et des nombreux poids lourds, ça commence à être looooong alors que ce n'est même pas la moitié du trajet.
15h, pause McGros sur Vesoul, visiblement Jim n'a pas réussi à tenir le rythme, il lâche toute la pression accumulée jusque là dans un mouchoir.
On a maintenant accumulé 2h30 de retard, on est large, à l'ancienne.
(Tu vois t'aurais dû venir manger avec nous Lee, on était pile-poil dans tes horaires).
Les départementales viroleuses du Jura s'étant maintenant transformées en voies rapides / autoroutes gratuites, on avance un peu plus rapidement même si je m'impose (et j'impose à mes copains du coup ....) de ne pas dépasser le 130 compteur, histoire de ne pas mouliner trop haut dans les tours.
Et lors d'une pause essence, nouvelle couille, je pisse l'huile.
Il semblerait que ça vienne du joint du carter sous le cache PSB, j'en peux plus de ma vie.
L'huile tombe dans le carénage et avec la vitesse, recouvre mon pneu arrière dans sa totalité. J'me disais justement que la route était un peu monotone ...
On part chercher de l'huile dans un centre commercial afin de faire le complément, nouvelle pause décompression de dépressif, et hop, une petite heure dans la vue.
C'est officiel, on arrivera pas avant 21h au gîte.
Le temps passe, le Luxembourg se rapproche, la flotte se met à tomber et les bouchons deviennent de plus en plus présents, mais grâce à mes supers clignotants mode warning, je peux remonter les files à fond.
Belgique, nous voilà. On fini par se prendre une méga drache à 1h du gîte, le froid tombe, je commence à subir la journée et je balise un peu de perdre l'arrière bêtement avec le mélange huile/flotte.
Une fois sortie des voies rapides, on découvre le vrai visage des routes belges. Des trous, des rout... des chemins de graviers, des rustines, qu'est-ce qu'on est venu foutre ici, en fait ?
La moto de Jim décide de passer en mode échappement libre pour les 10km nous séparant du gîte, il m'a fait flipper ce con, j'ai cru voir pour la première fois une Harley rouler sous la pluie. Il ne lui manquait plus que les chromes. Et les poils.
21h30, arrivée au gîte. Les copains nous ont attendus pour manger, ça c'est des vrais copains. Même si je soupçonne une organisation foireuse qui a retardé la cuisson des plats. Mais j'dis ça, j'dis rien, mais j'le dis quand même. Airbnb sans WiFi d'ailleurs. Comment on va flooder ?
La soirée se passe tranquillement, entre bières, protéines aux maroilles et mécanique sur une bouse rouge. Caro fait genre elle exploite tellement sa moto que celle-ci ne tient pas le coup, mais j'en doute. Tout le monde ne pilote pas sous la pluie dans le Nord.
Je suis un peu démoralisé de ne pas pouvoir profiter des routes demain avec les copains, mais j'ai un plan. Je vais essayer de péch... de passer du temps avec Mélanie et Caro dans le jacuzzi pour apprendre à les connaitre un peu plus.
Manque de bol, Nico, qui doit être un de ses médiums voyants guérisseurs qui distribuent des tracs dans les boites aux lettres, me propose de conduire la NSR demain.
D'abord je rigole. Ensuite je souris bêtement. Puis après en avoir parlé avec Mélanie, la proposition est validée, ça va être dément de pouvoir quand même profiter du mini-rasso, vu de l'intérieur. On se fait quelques bisous, c'est ça la gratitude, puis je vais me coucher, sobre.
Samedi matin, 9h10. Le bruit strident du monstre 2T réveille les voisins. Ça, c'est dans mes rêves. Dans la réalité, je vois les sourires narquois des enfoirés tout autour de moi.
Et je vois aussi Jim. Là c'est à mon tour de sourire.
Groupe violet pour commencer doucement la journée et tester un peu la bête, bordel ça freine bien mieux que le SV ! Les vitesses verrouillent vraiment bien et c'est un régal de balancer la moto dans les virages, même si les pneus ne sont pas en profil en V.
Le seul souci, c'est les sorties de virages et les montées en ligne droite, faut juste pas perdre l'élan.
Nico ouvre tellement bien le groupe tellement il est fort sans GPS tellement il a bien bossé son RB qu'on arrive avant les rouges à la première pause. Le rythme étant trop élevé pour moi, je décide donc de me trainer un peu chez les rouges, l'ouvreur étant Duke ça devrait passer easy.
C'était sans compter sur la logique de ce dernier, qui augmenta le rythme dès mon arrivée dans le groupe, à croire qu'il n'était pas si serein que ça sur sa Ducati 999 trop Ohlins optimized face à une pauvre 125 de 10ch.
Très agréables surprises au fil de la journée, que ça soit au niveau des routes mais aussi des paysages. Tout est bien entretenu et c'est un régal de rouler dans ces conditions. Merci d'avoir si bien bossé le RB les gars.
L'histoire retiendra qu'une 125 chaussés de PR0 de 2007 aura fait la nique à un tout un groupe rouge.
Souvenir particulier du tirage de bourre jenesaisoù avec Duke, Dydy et Jim VS GS Mustache Club, ça m'aurait fait mal au cœur de se faire pourrir par ces merdes. Bien joué les gars.
Arrivée au gîte, détente, gang des tout-nues, apéro, carbonara flammée, apéro, gauloise verte, traquenard, Mölkky, défaite, auto-stop, mission ninja, repos.
IL EST L'HEURE DE DORMIIIIRRRR !
Réveil par des cons qui prennent des photos, doliprane, café, doliprane, café, café.
Plein d'huile check, pression des pneus check, il est temps de partir, sous la pluie, tristesse.
Je mets vite mon casque pour ne pas qu'on voit les larmes sur mes joues.
Les premiers kilomètres sont durs, j'aurai dû boire mon Coca pur hier soir ...
On craque à la pause du midi, même s'il fait encore relativement sec, ça va pas tarder à nous tomber sur la tronche et il reste encore 5h30 de route. On prendra l'autoroute tout le long, Baloo nous quittant à Dijon pour tracer sur Lyon.
Le fin du trajet sera apocalyptique avec des orages/marre d'eau. J'ai fais de l'huile, mais pas qu'au niveau du moteur.
Pour finir, je n'ai jamais fait des étapes aussi longues dans ma vie de motard (700km), j'ai pris cher en montant, j'ai pris cher en redescendant, ma boite est en mousse et ça va me coûter une couille en réparation, je n'ai passé qu'une seule journée sur place, mais je ne regrette pas un seul moment d'être venu vous voir et d'avoir passer ce week-end entre copains. Big Love..
Voici mes notes.
Gîte : 16/20
Je me suis cassé la gueule dans les escaliers, c'était vachement dangereux.
Le parking était en pente , pas pratique pour faire le niveau d'huile.
Une pièce du sous-sol n'était pas bien climatisée, il faisait une chaleur étouffante, même en tee-shirt, à signaler au propriétaire.
Impossible de détendre son cuir dans le point d'eau extérieur.
Ambiance : 18/20
On s'est bien amusé.
Par contre il n'était pas indiqué sur les bouteilles d'alcool que c'était à consommer avec modération, à corriger pour la prochaine fois.
Bouffe : 19/20
Ça manquait quand même de rebloch' au petit dej.
Mention spéciale pour Mélanie qui a assuré tout le week-end (sans oublier toutes les petites mains qui l'ont aidé).
À conseiller aux mineurs : 1/20
Il s'est passé des choses étranges.
Je tiens à remercier tout particulièrement les sponsors de ce mini-rasso, sans qui celui-ci n'aurait pas eu la même saveur.
À l'année prochaine les guys, et à bientôt en Septembre pour le BEST MINI-RASSO FOREVER ARDÈCHE pour certains.
Mon ami Jim, que j'apprécie particulièrement malgré le fait qu'il soit vraiment ... lui, m'annonce que sa moto ne démarre pas. Nous sommes à moins de 24h du départ pour le grand Ch'nord, ça sent vraiment mauvais.
Finalement, la situation se débloque (j'en profite pour dire aussi merci à tous ceux qui l'ont aidé) et mes deux compagnons de voyage, Baloo et Jim, doivent arriver jeudi soir chez moi pour partir vendredi matin de bonne heure.
Ça, c'était le plan.
La réalité, c'est Baloo qui arrive à l'heure et Jim qui arrive à la tombée de la nuit, une haleine bien chargée en essence. Il vous racontera le pourquoi du comment, c'est assez drôle.
7h30, vendredi matin, le réveil est difficile après la soirée de la veille mais le soleil est bien présent et fait du bien au moral pour la longueeee route à venir.
Après un petit dej' en terrasse, nous décollons de chez moi à 9h30, presque dans les temps, c'est beau.
L'heure d'arrivée approximative au gîte était 17h.
Ça, c'était le plan.
Mais visiblement, il y a toujours un truc qui fait que le plan, c'est pas un bon plan.
2 heures de route plus tard, je ressens comme des à-coups lorsque je reprends en 6, comme un léger temps mort puis un clac, la vitesse reprenant ensuite normalement.
Je fais quelques tests de reprises gentiment en 6, plus ça va moins le moteur reprend vite le rythme, jusqu'au moment où la chaîne ne prend plus du tout et saute à la moindre sollicitation de l’accélérateur. Pause sur le bord de la route, à côté d'un cimetière, c'est un signe. Un signe de loositude de l’extrême, bordel, je me dis qu'on arrivera jamais à se faire un "trip" sans merde.
Il faut trouver un coupable, je regarde Jim, mais il me fait fondre en me faisant les yeux doux. Je regarde ensuite Baloo, il a l'air d'en avoir marre de nous, comme je le comprends ...
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Ça roule très mal à cause de la circulation et des nombreux poids lourds, ça commence à être looooong alors que ce n'est même pas la moitié du trajet.
15h, pause McGros sur Vesoul, visiblement Jim n'a pas réussi à tenir le rythme, il lâche toute la pression accumulée jusque là dans un mouchoir.
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(Tu vois t'aurais dû venir manger avec nous Lee, on était pile-poil dans tes horaires).
Les départementales viroleuses du Jura s'étant maintenant transformées en voies rapides / autoroutes gratuites, on avance un peu plus rapidement même si je m'impose (et j'impose à mes copains du coup ....) de ne pas dépasser le 130 compteur, histoire de ne pas mouliner trop haut dans les tours.
Et lors d'une pause essence, nouvelle couille, je pisse l'huile.
Il semblerait que ça vienne du joint du carter sous le cache PSB, j'en peux plus de ma vie.
L'huile tombe dans le carénage et avec la vitesse, recouvre mon pneu arrière dans sa totalité. J'me disais justement que la route était un peu monotone ...
On part chercher de l'huile dans un centre commercial afin de faire le complément, nouvelle pause décompression de dépressif, et hop, une petite heure dans la vue.
C'est officiel, on arrivera pas avant 21h au gîte.
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Belgique, nous voilà. On fini par se prendre une méga drache à 1h du gîte, le froid tombe, je commence à subir la journée et je balise un peu de perdre l'arrière bêtement avec le mélange huile/flotte.
Une fois sortie des voies rapides, on découvre le vrai visage des routes belges. Des trous, des rout... des chemins de graviers, des rustines, qu'est-ce qu'on est venu foutre ici, en fait ?
La moto de Jim décide de passer en mode échappement libre pour les 10km nous séparant du gîte, il m'a fait flipper ce con, j'ai cru voir pour la première fois une Harley rouler sous la pluie. Il ne lui manquait plus que les chromes. Et les poils.
:
La soirée se passe tranquillement, entre bières, protéines aux maroilles et mécanique sur une bouse rouge. Caro fait genre elle exploite tellement sa moto que celle-ci ne tient pas le coup, mais j'en doute. Tout le monde ne pilote pas sous la pluie dans le Nord.
Je suis un peu démoralisé de ne pas pouvoir profiter des routes demain avec les copains, mais j'ai un plan. Je vais essayer de péch... de passer du temps avec Mélanie et Caro dans le jacuzzi pour apprendre à les connaitre un peu plus.
Manque de bol, Nico, qui doit être un de ses médiums voyants guérisseurs qui distribuent des tracs dans les boites aux lettres, me propose de conduire la NSR demain.
D'abord je rigole. Ensuite je souris bêtement. Puis après en avoir parlé avec Mélanie, la proposition est validée, ça va être dément de pouvoir quand même profiter du mini-rasso, vu de l'intérieur. On se fait quelques bisous, c'est ça la gratitude, puis je vais me coucher, sobre.
Samedi matin, 9h10. Le bruit strident du monstre 2T réveille les voisins. Ça, c'est dans mes rêves. Dans la réalité, je vois les sourires narquois des enfoirés tout autour de moi.
Et je vois aussi Jim. Là c'est à mon tour de sourire.
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Le seul souci, c'est les sorties de virages et les montées en ligne droite, faut juste pas perdre l'élan.
Nico ouvre tellement bien le groupe tellement il est fort sans GPS tellement il a bien bossé son RB qu'on arrive avant les rouges à la première pause. Le rythme étant trop élevé pour moi, je décide donc de me trainer un peu chez les rouges, l'ouvreur étant Duke ça devrait passer easy.
C'était sans compter sur la logique de ce dernier, qui augmenta le rythme dès mon arrivée dans le groupe, à croire qu'il n'était pas si serein que ça sur sa Ducati 999 trop Ohlins optimized face à une pauvre 125 de 10ch.
Très agréables surprises au fil de la journée, que ça soit au niveau des routes mais aussi des paysages. Tout est bien entretenu et c'est un régal de rouler dans ces conditions. Merci d'avoir si bien bossé le RB les gars.
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Souvenir particulier du tirage de bourre jenesaisoù avec Duke, Dydy et Jim VS GS Mustache Club, ça m'aurait fait mal au cœur de se faire pourrir par ces merdes. Bien joué les gars.
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IL EST L'HEURE DE DORMIIIIRRRR !
Réveil par des cons qui prennent des photos, doliprane, café, doliprane, café, café.
Plein d'huile check, pression des pneus check, il est temps de partir, sous la pluie, tristesse.
Je mets vite mon casque pour ne pas qu'on voit les larmes sur mes joues.
Les premiers kilomètres sont durs, j'aurai dû boire mon Coca pur hier soir ...
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Pour finir, je n'ai jamais fait des étapes aussi longues dans ma vie de motard (700km), j'ai pris cher en montant, j'ai pris cher en redescendant, ma boite est en mousse et ça va me coûter une couille en réparation, je n'ai passé qu'une seule journée sur place, mais je ne regrette pas un seul moment d'être venu vous voir et d'avoir passer ce week-end entre copains. Big Love..
Voici mes notes.
Gîte : 16/20
Je me suis cassé la gueule dans les escaliers, c'était vachement dangereux.
Le parking était en pente , pas pratique pour faire le niveau d'huile.
Une pièce du sous-sol n'était pas bien climatisée, il faisait une chaleur étouffante, même en tee-shirt, à signaler au propriétaire.
Impossible de détendre son cuir dans le point d'eau extérieur.
Ambiance : 18/20
On s'est bien amusé.
Par contre il n'était pas indiqué sur les bouteilles d'alcool que c'était à consommer avec modération, à corriger pour la prochaine fois.
Bouffe : 19/20
Ça manquait quand même de rebloch' au petit dej.
Mention spéciale pour Mélanie qui a assuré tout le week-end (sans oublier toutes les petites mains qui l'ont aidé).
À conseiller aux mineurs : 1/20
Il s'est passé des choses étranges.
Je tiens à remercier tout particulièrement les sponsors de ce mini-rasso, sans qui celui-ci n'aurait pas eu la même saveur.
:
Appel de phare à tous mes frères motards de France et de Navarre.
- Teutates
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Est ce que passer du Gex au nsr c'est la même chose que passer du s4r au sv ?
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Il y a trop de trucs à citer tellement c'était drôle .
Pour l'histoire du moustache club en GS, je ne sais pas du tout où c'était et je n'en ai aucun souvenir. Je me souviens de la portion avec le mec en BMW devant nous, c'était pas à ce moment là par hasard ? Ça se trainait tellement derrière que j'ai jamais vu plus loin que le mec derrière moi dans mes rétros .
En tout cas ça fait quand même plaisir de savoir que tu retiens du positif du rasso malgré tes galères à l'aller et au retour ...
Pour le gîte il y avait du WiFi, mais pas tout le temps . D'ailleurs l'année prochaine on essayera de proposer quelque chose de plus près des routes et d'un peu plus confortable (même si trouver un gîte avec sauna et jacuzzi sans exploser le budget c'est pas gagné ).
Pour l'histoire du moustache club en GS, je ne sais pas du tout où c'était et je n'en ai aucun souvenir. Je me souviens de la portion avec le mec en BMW devant nous, c'était pas à ce moment là par hasard ? Ça se trainait tellement derrière que j'ai jamais vu plus loin que le mec derrière moi dans mes rétros .
En tout cas ça fait quand même plaisir de savoir que tu retiens du positif du rasso malgré tes galères à l'aller et au retour ...
Pour le gîte il y avait du WiFi, mais pas tout le temps . D'ailleurs l'année prochaine on essayera de proposer quelque chose de plus près des routes et d'un peu plus confortable (même si trouver un gîte avec sauna et jacuzzi sans exploser le budget c'est pas gagné ).
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Énorme le CR de JEJ !!!!! on y voit toute la subissance ! !!!!
Impossible n'est pas lorrain
Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Y avait pas de tartine baguette-complète-au-four-rebloch' pour le petit dèj ? Pourtant j'avais bien expliqué a Duke comment faire ...JEJ a écrit : Bouffe : 19/20
Ça manquait quand même de rebloch' au petit dej.
Mention spéciale pour Mélanie qui a assuré tout le week-end (sans oublier toutes les petites mains qui l'ont aidé).
À conseiller aux mineurs : 1/20
Il s'est passé des choses étranges.
Énorme ce CR. Jim toujours fidèle à lui même !! Heureusement y avait Bal'Oo pour remonter le niveau
- JEJ
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Je sais pas, à ton avis c'est quoi le pire, 150ch -> 10ch ou 125ch -> 74ch ?Teutates a écrit :Est ce que passer du Gex au nsr c'est la même chose que passer du s4r au sv ?
En tous cas j'ai compris la détresse que ça fait d'être "sans" moto roulante sur un rassemblement.
Je remercie encore Nico et Mel pour leur gentillesse. Maintenant j'arrête, on va croire que je suis pote avec des nordistes ...
C'était à ce moment là, y'avait une BM devant toi et un autre troupeau de GS & Cie qui poussaient au cul de Dydy.DukeNukem59 a écrit :Pour l'histoire du moustache club en GS, je ne sais pas du tout où c'était et je n'en ai aucun souvenir. Je me souviens de la portion avec le mec en BMW devant nous, c'était pas à ce moment là par hasard ? Ça se trainait tellement derrière que j'ai jamais vu plus loin que le mec derrière moi dans mes rétros
Je pense qu'il faut que tu règles tes rétros d'ailleurs, tu regardais tout le temps devant après la première pause.
Clairement les lits ça suffit au confort, on n'était pas en roulotte non plus, y'avait ce qu'il fallait.DukeNukem59 a écrit :D'ailleurs l'année prochaine on essayera de proposer quelque chose de plus près des routes et d'un peu plus confortable (même si trouver un gîte avec sauna et jacuzzi sans exploser le budget c'est pas gagné ).
Après sauna et jacuzzi c'est bien pour ceux qui ne roulent pas / c'est un petit plus, mais c'est pas forcément nécessaire, si tu veux gratter un peu sur le budget.
Merci de si bien ressentir ce qu'il s'est passé en moi.arsyesis a écrit :Énorme le CR de JEJ !!!!! on y voit toute la subissance ! !!!!
Que dalle, heureusement qu'il y avait des sandwichs patey pour le midi.Matthgo a écrit :Y avait pas de tartine baguette-complète-au-four-rebloch' pour le petit dèj ?
Il est en Z. Déconne pas non plus.Matthgo a écrit :Heureusement y avait Bal'Oo pour remonter le niveau
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Grrrr ...JEJ a écrit :En tous cas j'ai compris la détresse que ça fait d'être "sans" moto roulante sur un rassemblement.
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Ah bah je ne les ai pas vu eu . Et si je regardais dans mes rétros c'était pour vérifier que tu n'avais pas serré ou que Jim n'avais pas eu la jambe arrachée suite à l'explosion de son pot .JEJ a écrit :C'était à ce moment là, y'avait une BM devant toi et un autre troupeau de GS & Cie qui poussaient au cul de Dydy.DukeNukem59 a écrit :Pour l'histoire du moustache club en GS, je ne sais pas du tout où c'était et je n'en ai aucun souvenir. Je me souviens de la portion avec le mec en BMW devant nous, c'était pas à ce moment là par hasard ? Ça se trainait tellement derrière que j'ai jamais vu plus loin que le mec derrière moi dans mes rétros
Je pense qu'il faut que tu règles tes rétros d'ailleurs, tu regardais tout le temps devant après la première pause.
La priorité ça sera de se rapprocher des routes surtout. Après on veut quand même prévoir en cas de temps pourri ou si tout simplement des gens ne veulent pas rouler. Rester au gîte à tourner en rond ça va bien 5min .JEJ a écrit :Clairement les lits ça suffit au confort, on n'était pas en roulotte non plus, y'avait ce qu'il fallait.DukeNukem59 a écrit :D'ailleurs l'année prochaine on essayera de proposer quelque chose de plus près des routes et d'un peu plus confortable (même si trouver un gîte avec sauna et jacuzzi sans exploser le budget c'est pas gagné ).
Après sauna et jacuzzi c'est bien pour ceux qui ne roulent pas / c'est un petit plus, mais c'est pas forcément nécessaire, si tu veux gratter un peu sur le budget.
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
@JEJ62: Merci pour ce moment
Océ a écrit : Parce que Nico m’a rempli
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Le visage de Jim tout simplement .
Par contre JEJ, 150ch ta mob, t'a pris en compte le passage au banc ?
Par contre JEJ, 150ch ta mob, t'a pris en compte le passage au banc ?
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Re: [CR page 25] Mini-rasso Ch'ti 2016
Je gagne au moins 25ch avec le Yosh', auquel on enlève quelques chevaux à cause de la 6ème vitesse, je suis bien à 150ch, large.
Appel de phare à tous mes frères motards de France et de Navarre.