[ROADTRIP] GANG OF POETIC BASTARDS & Friends : Les 7 Perchés Capitaux - "La mer et les poissons pas morts, bis repetita"
- JEJ
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[ROADTRIP] GANG OF POETIC BASTARDS & Friends : Les 7 Perchés Capitaux
Contre-CR pour une contre-première soirée d'anthologie.
Après la chute de Lulu, on se décide à séparer le groupe pour gérer l'hotel, gérer la moto de Lulu et le récupérer à la sortie de l'hôpital.
Le trajet jusqu'au urgences se passent bien. Trop bien. Matth manque de s'en coller une à l'arrêt avec le 690, la faute à nanisme aigu ou à une alimentation pauvre en welchs (les vrais sachent). Il est 18h30.
Petit café/coca en ville avec Jim, pour attendre le cascadeur du jour qui est en train de passer une radio.
Il est presque sorti quand on décide de démonter un peu le 640 pour trouver l'origine du problème de compteur qui clignote depuis le début d'aprem'. On suspecte un problème de cosse de batterie mal serrée. Il est 20h.
Elle ne démarre plus, plus de compteur, zéro jus. Cheh sur nous.
La batterie a l'air bonne, on trifouille le compteur, le neiman, les fusibles... Un coup ça va, un coup ça va pas. On pense avoir trouver l'origine du problème, fusible principal un peu fatigué. En arrivant aux urgences, rebelote, ça fait toujours sapin de Noël (raccord avec sa clio tuning tu me diras...). Re-séance démontage du 640, part.2 feat Lulu. Il est 21h.
On trouve finalement la vrai origine du problème, cosse de la batterie dessoudée, elle a 500 bornes, improbable.
Mécanique de précision à base de rislans et chatterton, ça marche du feu de dieu. +12ch à la roue arrière.
Go Macdo pour reprendre des forces avant de faire la route du retour. Le col du Télégraphe, du Galibier et le Lautaret nous attendent. Il est 22h30, il commence à faire frais en fond de vallée, là où les druides ont décidé de mener notre premier combat. Nous sommes tous les 3 en visières teintées, ça va bien s'passer.
On remonte le Télégraphe précédemment avorté par la cascade de Lulu, sauf que maintenant on se méfie 10 fois plus des rustines et raccords de la route.
Petite photo obligatoire en haut du col, avec les 3 mtoos en plein phare nous arrivons tout de même à garder un rythme acceptable malgré la fatigue.
Si la photo est à l'envers c'est pour rendre hommage à Lulu.
Le Galibier s'annonce, on monte... Ça fait de plus en plus frais... Quelques virages un peu traîtres mais globalement pas de frayeurs, ça déroule jusqu'au croisement entre le tunnel et le col. Je m'arrête, je demande aux copains ce qu'ils veulent faire. On tombe vite d'accord pour faire le col, tant qu'à faire !
Et c'est comme ça qu'on se retrouve à 23h45, au col du Galibier, à 2642 mètres, par 5 degrés environ, dans la nuit noire.
On aurait pu tracer au plus vite pour l'hôtel, mais on décide de s'arrêter faire une pause pour prendre quelques photos et profiter de ce moment unique.
L'expérience est assez folle, le ciel est magnifique, l'amour brille sous les étoiles, le silence de la nuit est grisant.
La route qui dessine avec rien autour, à part le vide, le silence de la nuit, 3 copains qui se suivent (sans les autres abrutis qui nous attendent à l'hôtel -ou pas) , génial.
Il est 1h, nous sommes arrivés à l'hôtel, bonne nuit, à demain, levé 7h30.
Trajet du jour :
Grosse moyenne horaire, peu de pauses.
Après la chute de Lulu, on se décide à séparer le groupe pour gérer l'hotel, gérer la moto de Lulu et le récupérer à la sortie de l'hôpital.
Le trajet jusqu'au urgences se passent bien. Trop bien. Matth manque de s'en coller une à l'arrêt avec le 690, la faute à nanisme aigu ou à une alimentation pauvre en welchs (les vrais sachent). Il est 18h30.
Petit café/coca en ville avec Jim, pour attendre le cascadeur du jour qui est en train de passer une radio.
Il est presque sorti quand on décide de démonter un peu le 640 pour trouver l'origine du problème de compteur qui clignote depuis le début d'aprem'. On suspecte un problème de cosse de batterie mal serrée. Il est 20h.
Elle ne démarre plus, plus de compteur, zéro jus. Cheh sur nous.
La batterie a l'air bonne, on trifouille le compteur, le neiman, les fusibles... Un coup ça va, un coup ça va pas. On pense avoir trouver l'origine du problème, fusible principal un peu fatigué. En arrivant aux urgences, rebelote, ça fait toujours sapin de Noël (raccord avec sa clio tuning tu me diras...). Re-séance démontage du 640, part.2 feat Lulu. Il est 21h.
On trouve finalement la vrai origine du problème, cosse de la batterie dessoudée, elle a 500 bornes, improbable.
Mécanique de précision à base de rislans et chatterton, ça marche du feu de dieu. +12ch à la roue arrière.
Go Macdo pour reprendre des forces avant de faire la route du retour. Le col du Télégraphe, du Galibier et le Lautaret nous attendent. Il est 22h30, il commence à faire frais en fond de vallée, là où les druides ont décidé de mener notre premier combat. Nous sommes tous les 3 en visières teintées, ça va bien s'passer.
On remonte le Télégraphe précédemment avorté par la cascade de Lulu, sauf que maintenant on se méfie 10 fois plus des rustines et raccords de la route.
Petite photo obligatoire en haut du col, avec les 3 mtoos en plein phare nous arrivons tout de même à garder un rythme acceptable malgré la fatigue.
Si la photo est à l'envers c'est pour rendre hommage à Lulu.
Le Galibier s'annonce, on monte... Ça fait de plus en plus frais... Quelques virages un peu traîtres mais globalement pas de frayeurs, ça déroule jusqu'au croisement entre le tunnel et le col. Je m'arrête, je demande aux copains ce qu'ils veulent faire. On tombe vite d'accord pour faire le col, tant qu'à faire !
Et c'est comme ça qu'on se retrouve à 23h45, au col du Galibier, à 2642 mètres, par 5 degrés environ, dans la nuit noire.
On aurait pu tracer au plus vite pour l'hôtel, mais on décide de s'arrêter faire une pause pour prendre quelques photos et profiter de ce moment unique.
L'expérience est assez folle, le ciel est magnifique, l'amour brille sous les étoiles, le silence de la nuit est grisant.
La route qui dessine avec rien autour, à part le vide, le silence de la nuit, 3 copains qui se suivent (sans les autres abrutis qui nous attendent à l'hôtel -ou pas) , génial.
Il est 1h, nous sommes arrivés à l'hôtel, bonne nuit, à demain, levé 7h30.
Trajet du jour :
Grosse moyenne horaire, peu de pauses.
Appel de phare à tous mes frères motards de France et de Navarre.
- D'jo03
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tellement jaloux de vos histoires
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Ça envoie du lourd pour une première journée
- Leenox
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JEJ a écrit : je n'ai pas eu ce qu'il fallait dans le pantalon !
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[ROADTRIP] GANG OF POETIC BASTARDS & Friends : Les 7 Perchés Capitaux
Ah les joies de la visière fumée en pleine nuit . GG pour le col de nuit, la galérance de la situation est compensée par le moment unique que vous avez dû vivre
- sca
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Ce qui va suivre va vous étonner !!!!!
Tuono first génération, best moto Ever !!!
Fuck les rageux.
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- FrEdO
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Franchement pour ceux qui connaissent le Galibier ils ont fait très fort
Déjà que de jour il est impressionnant...
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- Titounecsn
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[ROADTRIP] GANG OF POETIC BASTARDS & Friends : Les 7 Perchés Capitaux - "On trace au plus court"
JEJ, tu as pas trop regretté de pas avoir tes additionnels du rallye ?
Et au final quel est le verdict médical pour Lulu ?
Et au final quel est le verdict médical pour Lulu ?
- Mini Jim
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[ROADTRIP] GANG OF POETIC BASTARDS & Friends : Les 7 Perchés Capitaux - "On trace au plus court"
Pour lulu c'est fracture gris orteil gauche. Quelle victime...
Le CR arrive, je poste les photos et c'est bon.
Le CR arrive, je poste les photos et c'est bon.
"À rouler sans aventures, on risque d'arriver sans souvenirs."
JEJ, 24 septembre 2020
JEJ, 24 septembre 2020
- luciolle
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Plus de moto moins de chute
- Mini Jim
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[ROADTRIP] GANG OF POETIC BASTARDS & Friends : Les 7 Perchés Capitaux - "On trace au plus court"
Jour 2: "On trace au plus court."
On attaque la journée par un réveil difficile à 7h15, la nuit n'a pas été longue après notre arrivée à une heure. On s'est caillé le cul toute la nuit parce qu'un connard à ouvert la fenêtre et qu'il n'y a pas de couverture sur les lits. J'apprendrai à 8h quelles étaient pliées dans l'armoire. Tant pis. Le petit dej est copieux, mais si j'avais su qu'on avait payé 10 euros j'aurais bouffé comme Matthgo.
Départ à l'heure après un peu de mécanique, c'est ça l'enfer des motoGP. On attaque par le col de l'Izoard. Les mots me manquent pour décrire ce col. On a pas mal barroudé, et on en a mangé des kilomètres de bitume et des cols en veux tu en voilà ( poeticbastardsonzeroad.skyblog.com), mais celui ci il est clairement au dessus de tout ce qu'on a fait jusqu'ici. Les courbes sont parfaites, le bitume aussi, on enroule tranquille sur le couple au rupteur de la 5 (le 640 est à ju, mais à priori c'est normal qu'elle n'ait que 5 vitesses).
On enchaine avec le col de vars, dont je ne me rappelle plus exactement, mais dans les grandes lignes c'est hyper roulant, et la route est encore hyper propre. Faut faire refroidir les machines, rouler à 30km/h ça doit chauffer ( ) donc on fait une pause café au col. C'est pas marqué col de vars sur la photo mais c'est au col quand même et si vous nous croyez pas vous aqu'avez aller vérifier.
On repart, et on enquille avec le col de la bonette. Dément. Si tu passes dans le coin et que tu fais l'Izoard hésite pas, enchaîne avec la bonette. La route est plus étroite, faut se méfier des 12 alpines et autres R5 turbo que tu croises et qui sont en rallye routier, mais sinon c'est énorme. On fait la photo touristes au sommet, et on coupe le groupe en 2.
Kop, sca, fredo et luciollle passent par la route pour redescendre, Matthgo, JEJ et moi on prend le chemin de traverse parce qu'on n'est pas des poissons mort. La suite de ce CR ne traite que de notre partie. Les 4 autres prennent une autre route, vous n'en croirez pas vos yeux! Lisez leur CR pour de plus amples d'informations.
On part donc sur le chemin. On le voit bien d'en haut, ça a l'air roulant. On fait un vote à main levée pour savoir qui y va. Luciollle veut lever la main on avait prévu le coup et on lui avait scotché les poignets dans le dos, avec sa cheville c'est clairement pas raisonnable. Julien veut baisser la main, mais on avait prévu le coup, on lui a scotché la main sur son casque. Avec ses grandes paroles ça serait pas raisonnable de le laisser pourrir des poireaux sur route. Au départ c'est roulant, ça met en confiance, mais oups ça dérape! Cliquez pour voir la suite!
J'ai bu une pinte jsuis bourré. Ça sert à rien de le dire mais la suite du CR risque d'être chiante alors j'essaye de pimenter le truc.
On finit notre trip tout terrain et on joint en rejoignant du goudron plein de gravillons. J'ai l'impression de n'avoir jamais vu une route aussi propre. Julien remercie mère adhérence, et on enchaine.
On part donc sur le col de la cayolle. Franchement si t'as fait le col de l'Izoard et de la bonette et que t'es dans le coin hésite pas. Évite ce col à tout prix. On fait la photo au sommet, et des anciens baroudeurs nous disent qu'ils sont contents de pas rouler avec 3 jeunes comme nous. Heureusement que Matth à gardé son casque.
On monte à valberg. On n'arrive pas à suivre Matth, il est 15h30 et on n'a pas mangé depuis le petit dej, il doit crever la dalle. On fait donc une pause goûter: coca café tarte caca. On repart et on arrive à suivre Matth. On lui a dit qu'il n'y avait pas de chiottes, on a gagné en rapport poids puissance par rapport à la montée
Le GPS nous annonce une arrivée à 21h30, on décide de couper. Matth nous demande où on en est du plein. Je suis passé en réserve y a 10 bornes. J'ai 10 bornes sur réserve. Il me demande si la station à 14km ça ira. Reponse: Large. J'ai franchement serré les fesses (je te payerai une selle neuve ju) mais c'est passé. On croise un type avec une H2 flambant neuve, hallucinant.
On rattrape une vieille Bonneville en descendant. Le mec descend 3 rapports quand il nous voit et largue sa meuf. Il veut jouer le con. 3 minutes avant on disait "on est crevés, on calme le jeu"...... Je vois ju me dépasser comme un sale sur le gras du couple, et on part comme des cons à la poursuite de ce connard qui roule comme un débile. On va pas se laisser pourrir par ce mec sorti de nulle part quand même. On finit vite les gorges du cyans (on me dit dans l'oreillette qu'on prononcé science) et on lâche notre pote du jour, qui attend sa meuf qui se traîne derrière. Il va passer une sale soirée le pauvre.
La suite c'est autoroute, bouchons pleins de connards de sudistes, et départ arrêté contre des scooters 125cm3. Oui, Julien a gagné même s'il a loupé l'endroit où on tournait à droite.
Sca fume une clope, on est sûrement tous bourrés, je vous laisse.
Wait and see le contre CR des poireaux. Vous pensez avoir tout vu mais vous ne vous attendez pas à voir ça!!
Biz
On attaque la journée par un réveil difficile à 7h15, la nuit n'a pas été longue après notre arrivée à une heure. On s'est caillé le cul toute la nuit parce qu'un connard à ouvert la fenêtre et qu'il n'y a pas de couverture sur les lits. J'apprendrai à 8h quelles étaient pliées dans l'armoire. Tant pis. Le petit dej est copieux, mais si j'avais su qu'on avait payé 10 euros j'aurais bouffé comme Matthgo.
Départ à l'heure après un peu de mécanique, c'est ça l'enfer des motoGP. On attaque par le col de l'Izoard. Les mots me manquent pour décrire ce col. On a pas mal barroudé, et on en a mangé des kilomètres de bitume et des cols en veux tu en voilà ( poeticbastardsonzeroad.skyblog.com), mais celui ci il est clairement au dessus de tout ce qu'on a fait jusqu'ici. Les courbes sont parfaites, le bitume aussi, on enroule tranquille sur le couple au rupteur de la 5 (le 640 est à ju, mais à priori c'est normal qu'elle n'ait que 5 vitesses).
On enchaine avec le col de vars, dont je ne me rappelle plus exactement, mais dans les grandes lignes c'est hyper roulant, et la route est encore hyper propre. Faut faire refroidir les machines, rouler à 30km/h ça doit chauffer ( ) donc on fait une pause café au col. C'est pas marqué col de vars sur la photo mais c'est au col quand même et si vous nous croyez pas vous aqu'avez aller vérifier.
On repart, et on enquille avec le col de la bonette. Dément. Si tu passes dans le coin et que tu fais l'Izoard hésite pas, enchaîne avec la bonette. La route est plus étroite, faut se méfier des 12 alpines et autres R5 turbo que tu croises et qui sont en rallye routier, mais sinon c'est énorme. On fait la photo touristes au sommet, et on coupe le groupe en 2.
Kop, sca, fredo et luciollle passent par la route pour redescendre, Matthgo, JEJ et moi on prend le chemin de traverse parce qu'on n'est pas des poissons mort. La suite de ce CR ne traite que de notre partie. Les 4 autres prennent une autre route, vous n'en croirez pas vos yeux! Lisez leur CR pour de plus amples d'informations.
On part donc sur le chemin. On le voit bien d'en haut, ça a l'air roulant. On fait un vote à main levée pour savoir qui y va. Luciollle veut lever la main on avait prévu le coup et on lui avait scotché les poignets dans le dos, avec sa cheville c'est clairement pas raisonnable. Julien veut baisser la main, mais on avait prévu le coup, on lui a scotché la main sur son casque. Avec ses grandes paroles ça serait pas raisonnable de le laisser pourrir des poireaux sur route. Au départ c'est roulant, ça met en confiance, mais oups ça dérape! Cliquez pour voir la suite!
:
On finit notre trip tout terrain et on joint en rejoignant du goudron plein de gravillons. J'ai l'impression de n'avoir jamais vu une route aussi propre. Julien remercie mère adhérence, et on enchaine.
On part donc sur le col de la cayolle. Franchement si t'as fait le col de l'Izoard et de la bonette et que t'es dans le coin hésite pas. Évite ce col à tout prix. On fait la photo au sommet, et des anciens baroudeurs nous disent qu'ils sont contents de pas rouler avec 3 jeunes comme nous. Heureusement que Matth à gardé son casque.
On monte à valberg. On n'arrive pas à suivre Matth, il est 15h30 et on n'a pas mangé depuis le petit dej, il doit crever la dalle. On fait donc une pause goûter: coca café tarte caca. On repart et on arrive à suivre Matth. On lui a dit qu'il n'y avait pas de chiottes, on a gagné en rapport poids puissance par rapport à la montée
Le GPS nous annonce une arrivée à 21h30, on décide de couper. Matth nous demande où on en est du plein. Je suis passé en réserve y a 10 bornes. J'ai 10 bornes sur réserve. Il me demande si la station à 14km ça ira. Reponse: Large. J'ai franchement serré les fesses (je te payerai une selle neuve ju) mais c'est passé. On croise un type avec une H2 flambant neuve, hallucinant.
On rattrape une vieille Bonneville en descendant. Le mec descend 3 rapports quand il nous voit et largue sa meuf. Il veut jouer le con. 3 minutes avant on disait "on est crevés, on calme le jeu"...... Je vois ju me dépasser comme un sale sur le gras du couple, et on part comme des cons à la poursuite de ce connard qui roule comme un débile. On va pas se laisser pourrir par ce mec sorti de nulle part quand même. On finit vite les gorges du cyans (on me dit dans l'oreillette qu'on prononcé science) et on lâche notre pote du jour, qui attend sa meuf qui se traîne derrière. Il va passer une sale soirée le pauvre.
La suite c'est autoroute, bouchons pleins de connards de sudistes, et départ arrêté contre des scooters 125cm3. Oui, Julien a gagné même s'il a loupé l'endroit où on tournait à droite.
Sca fume une clope, on est sûrement tous bourrés, je vous laisse.
Wait and see le contre CR des poireaux. Vous pensez avoir tout vu mais vous ne vous attendez pas à voir ça!!
Biz
"À rouler sans aventures, on risque d'arriver sans souvenirs."
JEJ, 24 septembre 2020
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PS: on est partis de Briançon et on est à antibes ce soir. Et je suis content d'avoir fait le off-road avec les copains, c'était dur mais c'est une expérience à vivre, et la vivre avec des copains comme ça ça n'a pas de prix.
"À rouler sans aventures, on risque d'arriver sans souvenirs."
JEJ, 24 septembre 2020
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Trajet du jour :
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Note à moi même, la Route des Grandes Alpes en 2 jours, avec des types comme eux, c'était optimiste.
Appel de phare à tous mes frères motards de France et de Navarre.